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Les deux sujets d'actualité sont:

 

  • Extension de la carrière située au lieu-dit "Le Bois de la Coudraye" à Ambillou-Château appartenant à la Société des Calcaires d'Ambillou pour une exploitation de 25 ans du tuffeau extrait pour approvisionner la filière champignonnière:

La commission d'enquête publique s'est terminée le 13 novembre dernier et les Loriens, avec l'association, ont fait part de leurs questionnements vis à vis de cette extension de carrière: impact visuel, esthétique, phonique, faunistique, conséquences sur l'eau, mais aussi et surtout la question du transport des matériaux extraits, d'une part, et des matériaux inertes pour remblayage, d'autre part (d'après les calculs de l' A.D.E.L.E. cela peut représenter 49 passages de camions par jour). L'objectif des questions de l' A.D.E.L.E. est de comprendre comment va être réalisé le projet afin de s'assurer que les mesures nécessaires seront prises pour limiter les impacts sur l'environnement actuel. La RD156 entre LOUERRE et AMBILLOU-CHÂTEAU n'est pas adaptée à ce genre de transport : des ornières ou nids de poule bordent le bitume à maints endroits rendant les croisements difficiles et dangereux. L'étroitesse et le peu d'accotement augmentent le risque de mise au fossé ! L' A.D.E.L.E. souhaite sensibiliser les pouvoirs publics pour notamment signifier l'inquiétude des riverains et des habitants de LOUERRE et AMBILLOU qui empruntent cette voie pour leur travail, activité, école, etc… et préciser qu'il y a d'autres solutions que celles évoquées dans l'enquête publique. La sécurité des usagers en dépend.

 

  • Prolifération des frelons asiatiques:

Sur la commune de LOUERRE, en 2013, il y avait un nid de frelon asiatique dans le jardin public. En 2015, il y en a 7 sur la commune (bourg et hameaux). Comme dans d'autres communes frappées par cette invasion, c'est le propriétaire de l'endroit où se situe le nid qui doit procéder à la destruction, dont le coût oscille entre 80,00€ et 160,00€. Ce coût n'aide pas à la déclaration et la décision de destruction de ces nids. Dans l'immédiat, bon nombre de communes propose une aide à hauteur de 50% mais ce n'est pas pleinement satisfaisant. La prolifération de ce frelon doit être enrayée par tous les moyens. L'association envisage de mobiliser toutes les instances concernées…, il en va de la santé publique.